Un futur inéluctable
Il était une fois les cours particuliers à domicile, un temps révolu. L’ère du numérique avance à grande vitesse et aucun secteur ne sera épargné, alors si vous croyez que le futur des cours particuliers n’est pas en ligne, c’est que vous regardez toujours vers le passé. Aujourd’hui, grâce au numérique, le monde est devenu une scène pour le professeur possédant les compétences et l’expérience pédagogiques voulues que ce soit en maths, en anglais, francais ou dans les matières moins scolaires comme le marketing, le développement personnel. Ce dernier peut être basé n’importe où et enseigner à distance à des étudiants dans d’autres villes, voire dans d’autres pays. Cela concerne à la fois le soutien scolaire et l’encadrement donné pour les niveaux supérieurs.
Pour s’assurer de ces propos, il faut voir les rapports publiés déjà en 2007 par la société de recherche en éducation “EduVentures” qui ont estimé la taille du chiffre d’affaire relatif aux cours à distance ou particuliers en ligne entre 5 et 7 milliards de dollars par an. Il faut aussi consulter le rapport intitulé «Rapport sur le secteur privé : bilan mondial stratégique» et publié en 2012 par la société d’études de marché “Global Industry Analysts” (GIA), qui estimait que le marché mondial des cours particuliers en ligne atteindra 102,8 milliards de dollars américains en 2018.
Le nombre croissant des plates-formes de cours en ligne a considérablement renforcé le marché permettant aux professeurs d’atteindre plus facilement les étudiants et aux étudiants de trouver le bon professeur au tarif le plus convenable, quel que soit son lieu de résidence. Vous retrouvez sur internet des offres comme sur ce site https://groupe-reussite.fr/cours-particuliers-en-ligne/ qui vous permettent d’avoir accès à des professeurs qui donnent des cours en ligne en quelques clics.
Cours à distance : Des moyens techniques facilitant l’expérience numérique
Certes, le cours particulier en ligne a ses propres défis tels que le manque d’interaction humaine et la difficulté de gérer des sessions d’étudiants à distance. Mais il existe plusieurs applications qui améliorent l’expérience d’apprentissage et simplifient les interactions entre le professeur et l’élève. Il y a des outils classiques et connus de tous comme Skype qui permet de tenir des conférences audiovisuelles avec la possibilité de partager des fichiers, de partager l’écran sans donner le contrôle, de prendre des captures d’écran et de taper des messages pendant la session vidéo. Il y a aussi les différentes applications de tableaux blancs virtuels qui rendent visible pour les étudiants tout ce que le professeur écrit ou dessine, celles-ci rendent l’expérience parfaitement similaire à celle en classe surtout qu’elles sont souvent synchronisées avec Skype.
D’un autre côté, les outils de stockage et de partage comme le Dropbox et Google Drive permettent de partager facilement le contenu des cours et les vidéos et surtout de collaborer en temps réel en travaillant avec l’étudiant simultanément sur le même document. Finalement, et pour ne rien oublier, même la partie administrative et organisationnelle peut parfaitement être gérée par le numérique : des logiciels comme Teachworks et TutorPanel assurent la planification des séances, la gestion des calendriers de formation, l’automatisation des rappels de session ainsi que la facturation des étudiants de manière automatique incluant l’émission des reçus de paiement. Pour le paiement, faire appel à des organismes de cours particuliers et de soutien scolaire vous permettront d’avoir un tiers de confiance qui vous permettra de disposer du paiement en toute sécurité.
Toutes ces avancées technologiques font cours à distance une expérience de grande qualité et d’une simplicité mettant à l’aise les étudiants. La plupart des logiciels sur le marché sont gratuits aujourd’hui ou alors sont très peu chers et les tablettes pour permettre de donner des cours particuliers de maths ou de physique sont très peu onéreuses également et permettent de donner une véritable qualité au cours.
